Boîte à outils : Les figures de style

La Comparaison

Définition : La comparaison est une figure de style qui établit un rapport de ressemblance entre deux éléments, appelés le comparé et le comparant, à l’aide d’un outil de comparaison. Elle met en relation deux réalités distinctes pour mieux faire ressortir leurs similitudes ou leurs différences.

La comparaison se compose de quatre éléments principaux :

  • Le comparé : l’élément que l’on cherche à décrire ou à caractériser.
  • Le comparant : l’élément auquel on compare le comparé.
  • L’outil de comparaison : le mot ou l’expression qui sert à établir la comparaison (comme, tel, pareil à, semblable à, ainsi que, ressembler à, etc.)
  • Le point commun : la caractéristique qui justifie la comparaison.
  • Exemple:
  • « Ses yeux brillaient comme des étoiles. »
    • Comparé : ses yeux
    • Comparant : des étoiles
    • Outil de comparaison : comme
    • Point commun : la brillance
  • Comparaison poétique : « L’amour est comme un oiseau rebelle » (Bizet, Carmen)
    • Ici, l’amour est comparé à un oiseau rebelle, ce qui suggère sa liberté, son imprévisibilité, et sa difficulté à être contrôlé.
  • Comparaison réaliste : « Ses mains étaient rugueuses comme du papier de verre. »
    • Cette comparaison permet de visualiser la texture des mains, renforçant l’image de leur dureté et de leur usage fréquent
  • Comparaison fantastique : « Le vent soufflait tel un cri de loup dans la nuit noire. »
    • Ici, le vent est comparé au cri du loup, ce qui ajoute une dimension inquiétante et mystérieuse à la scène.

La comparaison clarifie ou enrichit l’idée en établissant un lien entre deux réalités, souvent pour souligner un trait caractéristique. La comparaison permet de rendre une idée abstraite plus concrète et plus accessible en l’associant à une image familière. Elle amplifie les sentiments et permet au lecteur de mieux ressentir ou imaginer ce qui est décrit. La comparaison ajoute de la richesse et de la diversité à l’expression en multipliant les images et les associations d’idées.

La métaphore

Définition : La métaphore est une figure de style qui consiste à remplacer un mot ou une expression par un autre terme avec lequel il entretient un rapport de ressemblance ou d’analogie, sans utiliser d’outil de comparaison explicite comme « comme, » « tel, » ou « pareil à. » C’est un raccourci poétique qui fusionne le comparé et le comparant, créant une nouvelle réalité imagée.

La métaphore se compose de deux élements principaux: le comparé, élément que l’on cherche à décrire ou à enrichir; le comparant, élément auquel on associe le comparé.

  • Exemple : « Ma jeunesse ne fut qu’un ténébreux orage » (Charles Baudelaire, Les Fleurs du mal).

La métaphore permet de créer des images fortes et évocatrices. Ici, Baudelaire associe sa jeunesse à un orage, suggérant la violence et la noirceur de cette période sans avoir besoin de l’expliciter.

L’oxymore

Définition : Association de deux termes contradictoires dans une même expression.

  • Exemple : « Cette obscure clarté qui tombe des étoiles » (Corneille, Le Cid).
  • Effet produit : L’oxymore crée un effet de surprise et enrichit le texte en combinant des notions apparemment incompatibles, suscitant la réflexion

La Métonymie

Définition : La métonymie consiste à remplacer un mot par un autre, mais le rapport entre les deux termes est de contiguïté logique, c’est-à-dire qu’il s’agit d’une relation de proximité ou d’association.

  • Le contenant pour le contenu : « Boire un verre » (verre = la boisson).
  • Le lieu pour l’institution : « La Maison-Blanche a annoncé que … » (Maison-Blanche = le gouvernement américain).
  • La cause pour l’effet : « Il a du plomb dans la tête » (plomb = la balle reçue, donc le fait d’être gravement blessé).
  • L’instrument pour la personne qui l’utilise : « Le premier violon de l’orchestre » (violon = le musicien).

La métonymie permet de rendre l’expression plus concise, vivante, et parfois plus imagée. En utilisant un mot par association d’idées, elle donne au texte un caractère plus dynamique, en suggérant plutôt qu’en explicitant. Elle offre également un effet de concentration de l’idée, en évoquant un élément central sans le nommer directement.

La Synecdoque

Définition : La synecdoque est une figure de style qui consiste à remplacer un mot par un autre, en utilisant une relation d’inclusion entre les deux termes. Il s’agit d’utiliser :

  • La partie pour le tout : Un élément représentant l’ensemble.
    • Exemple : « Les voiles quittèrent le port. » (les voiles = les bateaux)
  • Le tout pour la partie : L’ensemble représentant un élément.
    • Exemple : « La France a gagné la Coupe du Monde. » (la France = l’équipe nationale de football)
  • Le singulier pour le pluriel ou vice versa.
    • Exemple : « L’homme est un loup pour l’homme. » (l’homme = l’humanité)

La synecdoque permet de concentrer l’attention sur un aspect spécifique d’un élément pour le rendre plus concret ou plus frappant. En choisissant un détail significatif, elle donne à voir un ensemble de manière plus imagée ou évocatrice.

Différence principale entre synecdoque et métonymie

La synecdoque repose sur un rapport d’inclusion ou d’appartenance : la partie et le tout, le genre et l’espèce, le singulier et le pluriel. C’est une relation où l’un des termes fait intrinsèquement partie de l’autre.

  • Les voiles voguaient sur la mer.
    • Ici, « les voiles » représentent les bateaux tout entiers. La voile est une partie constitutive du bateau et l’auteur utilise cette partie pour désigner le tout. C’est un excellent exemple de la synecdoque « partie pour le tout. »
  • Il a croisé le fer avec son adversaire.
    • « Le fer » désigne ici l’épée ou l’arme avec laquelle les deux combattants se battent. Le mot « fer » (matériau) est utilisé pour parler de l’épée dans son ensemble car le fer est une partie essentielle de l’arme. C’est un autre cas de la synecdoque où la matière représente l’objet complet.
  • Paris a faim.
    • Dans cette phrase, « Paris » désigne l’ensemble des habitants de la ville et non la ville elle-même. On utilise donc un tout (la ville) pour évoquer une partie (les habitants). C’est une synecdoque « le tout pour la partie. »
  • Les quatre roues se sont garées.
    • « Les quatre roues » représentent ici une voiture entière. On parle d’une partie (les roues) pour désigner le tout (le véhicule). Cela met l’accent sur un élément précis de la voiture, mais en évoquant la totalité de celle-ci.
  • L’homme est un animal social.
    • « L’homme » est utilisé pour parler de l’ensemble de l’humanité et non d’un seul individu masculin. C’est une synecdoque qui va du singulier au pluriel (un homme = tous les Hommes).

La métonymie, quant à elle, repose sur un rapport de contiguïté, de proximité, ou de cause à effet, mais les deux éléments ne sont pas forcément inclus l’un dans l’autre.

  • Boire une mousse
    • Dans cette expression, « une mousse » fait référence à une bière. Ici, on utilise une caractéristique de la bière, à savoir la mousse qui se forme à la surface, pour désigner la boisson elle-même. Il s’agit donc d’un lien de proximité entre l’aspect mousseux de la bière et la bière en tant que boisson.
  • J’ai lu tout Molière.
    • Le nom « Molière » représente l’ensemble des œuvres écrites par l’auteur. On utilise l’auteur pour désigner son travail, une métonymie courante dans le domaine littéraire.
  • Le pinceau de Picasso est inimitable.
    • Le « pinceau » représente ici la technique artistique et l’œuvre de Picasso. On utilise l’instrument (le pinceau) pour évoquer l’ensemble de l’œuvre réalisée.
  • La couronne a décidé de dissoudre le Parlement.
    • « La couronne » représente ici la monarchie ou le roi. L’objet symbolique (la couronne) est utilisé pour désigner l’institution qu’il incarne.

Astuces pour les différencier

Demande-toi s’il existe un rapport d’inclusion entre les deux termes. Si l’un est vraiment une partie de l’autre (ou l’inverse), alors c’est une synecdoque.

Cherche la proximité logique. Si le lien entre les deux termes relève d’une association d’idées ou d’une simple contiguïté (lieu, contenant, instrument, etc.), il s’agit d’une métonymie.

La personnification

Définition : C’est une figure de style qui consiste à attribuer des caractéristiques humaines (gestes, pensées, comportements) à des objets, des animaux, des éléments de la nature, ou des idées abstraites. La personnification se concentre sur le fait de donner des traits humains à ce qui ne l’est pas.

  • Exemple : « La rue assourdissante autour de moi hurlait » (Baudelaire, « Les Fleurs du mal »).
    • Hurler est une action humaine que l’on attribue à la rue .

La personnification anime l’inanimé, rendant le texte plus vivant et imagé. La personnification est souvent ponctuelle, affectant un mot ou une phrase, comme un trait d’humanité appliqué à un élément non humain.

L’Allégorie

Définition: va au-delà de la simple attribution de traits humains. L’allégorie représente une idée abstraite (comme la mort, la justice, l’amour, le temps, la liberté, etc.) de manière prolongée, en la développant sous forme de personnages, d’objets, ou de scènes symboliques. Elle crée une « histoire » ou une image complète qui incarne cette idée sur une plus longue durée. Cette transformation rend les idées invisibles ou abstraites plus accessibles en les incarnant dans des formes que nous pouvons voir, imaginer, ou comprendre.

  • Exemple classique : La Mort représentée par une faucheuse
    • Dans de nombreuses cultures, la Mort est symbolisée par une figure sinistre vêtue d’une cape noire, tenant une faux. La faux rappelle l’idée de couper le fil de la vie, comme on coupe les épis de blé.
    • Idée abstraite : La mort
    • Image concrète : La faucheuse avec sa faux
  • Autres exemples d’allégories :
  • La justice représentée par une femme aux yeux bandés, tenant une balance et une épée :
    • Idée abstraite : La justice
    • Image concrète : La femme aux yeux bandés (symbole d’impartialité), la balance (équilibre), l’épée (autorité et force).
  • L’amour représenté par Cupidon, un petit ange avec un arc et des flèches :
    • Idée abstraite : L’amour
    • Image concrète : Cupidon, qui incarne l’amour avec ses flèches censées « frapper » le cœur des amoureux.
  • Le Temps représenté par un vieillard avec une faux et un sablier :
    • Idée abstraite : Le temps qui passe
    • Image concrète : Le vieillard (symbole de la vieillesse), la faux (le passage du temps qui fauche la vie), et le sablier (le temps qui s’écoule).

L’allégorie est un outil puissant pour représenter l’invisible, l’incompréhensible, ou l’abstrait de manière concrète et imagée, permettant ainsi d’illustrer des idées complexes avec clarté et force. Elle produit notamment comme effet de:

  • Rendre les idées abstraites plus accessibles et compréhensibles : En donnant une forme visuelle ou narrative à des concepts qui n’ont pas de réalité physique, l’allégorie permet au lecteur de mieux saisir ces notions.
  • Permettre une interprétation plus riche : Les allégories sont souvent porteuses de plusieurs niveaux de sens. Elles offrent la possibilité de lire un texte ou de percevoir une image de manière plus profonde, en découvrant les idées cachées derrière les éléments concrets.
  • Créer un impact visuel ou émotionnel : L’allégorie rend les concepts abstraits plus vivants et tangibles, ce qui facilite la mémorisation et suscite des émotions chez le lecteur ou l’observateur.

L’allégorie utilise souvent la personnification pour représenter des idées abstraites, mais elle va beaucoup plus loin en développant une image complète, cohérente, et symbolique de ces idées. C’est une représentation élaborée et prolongée, là où la personnification se contente d’humaniser brièvement un élément non humain.

L’Anaphore

Définition : Répétition d’un mot ou d’un groupe de mots en début de phrase ou de vers.

  • Exemple : « Rome, l’unique objet de mon ressentiment ! / Rome, à qui vient ton bras d’immoler mon amant ! » (Corneille, Horace).

L’anaphore crée un rythme et souligne l’insistance ou l’émotion, donnant de la force au propos.

L’allitération

Définition : Répétition d’une ou plusieurs consonnes dans un groupe de mots.

  • Exemple : « Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur vos têtes ? » (Racine, Andromaque).
  • Effet produit : L’allitération crée un effet sonore, musical, ou mimétique qui renforce le sens du texte.

L’assonance

Définition : Répétition d’un même son vocalique (voyelle) dans un groupe de mots.

  • Exemple : « Les sanglots longs / Des violons / De l’automne » (Verlaine, « Chanson d’automne »).
  • Effet produit : L’assonance crée un rythme et une harmonie qui contribuent à l’atmosphère du texte.

L’hyperbole

Définition : Exagération volontaire pour mettre en relief une idée.

  • Exemple : « Je meurs de faim. »
  • Effet produit : L’hyperbole amplifie la réalité pour susciter l’émotion ou l’humour, donnant un impact plus fort à l’expression.

La gradation

Définition : Succession de termes d’intensité croissante ou décroissante.

  • Exemple : « Je meurs, je suis mort, je suis enterré ! » (Molière, L’Avare).
  • Effet produit : La gradation amplifie l’idée et crée un effet d’accumulation, de montée en puissance, ou d’intensité.

L’antiphrase

Définition : Dire le contraire de ce que l’on pense, de manière ironique. L’antiphrase se base uniquement sur le contraste entre l’expression utilisée et le sens réel que l’on souhaite faire passer. Elle est souvent employée dans un contexte ironique, mais elle est plus directe et facilement identifiable.

  • Exemple : « Quel génie ! » pour parler de quelqu’un qui vient de faire une erreur stupide.

L’antiphrase, souvent ironique, permet de souligner l’absurdité ou la bêtise d’une situation. L’antiphrase est une figure de style qui consiste à dire le contraire de ce que l’on pense, mais elle s’applique toujours à une phrase unique. Elle est une forme d’ironie, mais son fonctionnement est plus restreint.

La Litote

Définition : La litote est une figure de style qui consiste à atténuer l’expression de sa pensée pour laisser entendre beaucoup plus que ce qui est dit. Elle utilise souvent une tournure négative pour suggérer un sens positif.

  • Exemple : « Ce n’est pas mal » pour dire « C’est très bien. » Ici, l’expression est atténuée, mais le lecteur comprend que l’intention est de dire quelque chose de beaucoup plus fort que ce qui est formulé.

En minimisant ses propos, la litote renforce en réalité l’idée qu’elle exprime. C’est une façon de suggérer quelque chose de fort ou de positif sans l’affirmer directement. La litote exprime plus qu’elle ne dit en jouant sur l’implicite, créant un effet de modestie ou d’ironie.

L’euphémisme

Définition : L’euphémisme est une figure de style qui consiste à atténuer une réalité jugée brutale, choquante, désagréable ou offensante, en la remplaçant par une expression plus douce, plus neutre, ou plus indirecte. L’euphémisme sert à adoucir le discours et à éviter de heurter les sensibilités. Il masque souvent une réalité dure ou taboue pour la rendre plus acceptable ou moins effrayante.

  • Exemple : « Il nous a quittés » pour dire « Il est mort. »
  • « Il s’est éteint » au lieu de « Il est mort. »
  • « Passer l’arme à gauche » pour dire « mourir. »
  • « Rejoindre les étoiles » pour signifier le décès de quelqu’un.
  • « Personne à mobilité réduite » au lieu de « handicapé. »
  • « Malentendant » au lieu de « sourd. »
  • « Non-voyant » pour « aveugle. »
  • « Troisième âge » pour parler de la vieillesse.
  • « Prendre de l’âge » pour signifier qu’une personne vieillit.
  • « D’un certain âge » pour parler d’une personne âgée.
  • « Mettre fin à une collaboration » pour dire « licencier » ou « virer. »
  • « Plan social » pour parler de licenciements en masse.
  • « Avoir des difficultés financières » au lieu de « être pauvre » ou « ruiné. »
  • « Optimisation fiscale » pour évoquer des pratiques d’évasion ou de fraude fiscale.

L’euphémisme permet de parler de sujets délicats ou douloureux de manière plus douce, parfois pour éviter de heurter. L’euphémisme rend des sujets délicats ou désagréables plus supportables et évite de choquer. Il permet d’atténuer la brutalité ou la violence de certains termes. Il peut aussi servir à masquer la gravité d’une situation, en l’enveloppant d’une tournure plus légère. Cela permet d’aborder ces sujets avec plus de délicatesse ou de diplomatie.

La prétérition

Définition : La prétérition est une figure de style qui consiste à annoncer que l’on ne va pas parler d’un sujet, tout en le mentionnant de manière détournée ou indirecte. En disant qu’on va passer sous silence une idée ou un fait, on attire paradoxalement l’attention sur ce que l’on prétend ne pas vouloir dire.

  • Exemple : Politique : « Je ne veux pas dire que mon adversaire manque d’expérience, mais il n’a jamais géré de poste de responsabilité. »
    • Ici, le locuteur affirme ne pas vouloir évoquer le manque d’expérience de son adversaire, mais le fait précisément.
  • Dans le cadre littéraire : « Inutile de rappeler que ce livre a eu un succès phénoménal. »
    • En disant que c’est « inutile de rappeler, » l’auteur souligne en réalité le succès du livre.

L’expression « je dis ça, je dis rien » est une forme populaire de prétérition. Elle fonctionne de la même manière en signalant qu’on n’a pas vraiment l’intention de faire une remarque tout en la faisant malgré tout :

  • Exemple : « Tu as vu l’heure à laquelle tu es rentré hier soir ? Je dis ça, je dis rien. »
    • L’expression suggère que la personne veut souligner le retard, mais en prétendant que ce n’est pas important, elle attire justement l’attention sur ce fait.

La prétérition attire l’attention sur ce que l’on prétend ne pas dire, souvent de manière ironique ou insistante. Le locuteur utilise la prétérition pour insister sur un point tout en feignant de ne pas le faire, créant ainsi une forme d’ironie ou de subtilité dans son discours.C’est un moyen habile d’introduire une information ou une critique sans avoir l’air de vouloir insister dessus, donnant au propos une apparence de neutralité ou de réserve. La prétérition attire l’attention sur l’information ou le point que l’on prétend ne pas vouloir aborder. En signalant que l’on ne va pas parler de quelque chose, on incite le lecteur ou l’auditeur à prêter attention à ce que l’on s’apprête à dire.

Le chiasme

Définition : Structure en miroir où les éléments de deux groupes sont inversés.

L’antithèse

Définition : Mise en relation de deux idées ou éléments opposés.

  • Exemple : « Être ou ne pas être » (Shakespeare, « Hamlet »).
  • Effet produit : L’antithèse met en lumière le contraste et permet de souligner les oppositions ou contradictions, souvent pour exprimer des tensions ou des dilemmes.

Le parallélisme

Définition : Répétition de la même structure syntaxique dans une phrase ou un texte.

  • Exemple : « J’ai tendresse pour toi, j’ai passion pour elle. »
  • Effet produit : Le parallélisme crée un rythme et une harmonie, renforçant les liens ou oppositions entre les éléments.

En maîtrisant ces figures de style, tu disposeras d’une véritable boîte à outils pour analyser et apprécier la richesse d’un texte littéraire. Elles te permettront d’identifier comment un auteur joue avec le langage, de comprendre l’effet produit sur le lecteur, et d’enrichir ton interprétation lors de tes analyses.

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